La Ville a fait le choix de démocratiser l’Art Contemporain ; elle décide alors d’implanter plusieurs sculptures dans les espaces publics, en s’engageant avec l’Etat dans une politique de commandes publiques ambitieuses (Venet, César) et en bénéficiant de dépôt par l’Etat (Mimas de A. et P. Poirier, Buts de A. Leccia).
Epinal est donc devenue un musée à ciel ouvert avec la présence dans la rue de créations contemporaines : “Ligne indéterminée” de Bernar Venet, place de la Chipotte (1986), “Liberté” de César, rue des Minimes (1989), “les buts” de Ange Leccia et “Chidren Corner” d’Yves Humblot sur deux ronds-points de la Voivre, “Mimas” d’Anne et Patrick Poirier, derrière le musée départemental (1986), “Le passant inconnu” de Braco DimitriJevic, près du commissariat.
La Ville a aussi acquis l’œuvre de François-Xavier Boujard “L’esprit de la photo” installée dans la cour de l’Hôtel de Ville et “Zep” de Louis Perrin repérée lors du Festival d’Epin’art en septembre 2008.